Il est d'abord essentiel de créer un climat de confiance avec l'élève en le rassurant : ses difficultés sont peut-être parfois anxiogènes mais elles ne sont pas insurmontables et personne n'est "nul ". Il m'apparaît donc opportun, dans un premier temps, de réassurer l'élève en mettant l'accent sur ce qu'il sait déjà faire, dire ou écrire, ses compétences. Dans un premier temps donc, faire un poin...
Il est d'abord essentiel de créer un climat de confiance avec l'élève en le rassurant : ses difficultés sont peut-être parfois anxiogènes mais elles ne sont pas insurmontables et personne n'est "nul ". Il m'apparaît donc opportun, dans un premier temps, de réassurer l'élève en mettant l'accent sur ce qu'il sait déjà faire, dire ou écrire, ses compétences. Dans un premier temps donc, faire un point sur les acquis en encourageant l'élève.
Puis dans un second temps, il s'agit d'identifier les difficultés : est-ce l'orthographe? La grammaire ? La conjugaison ? Le vocabulaire? La construction d'une rédaction ou une étude de texte ?
Mon rôle est d'analyser ces difficultés et de parvenir à ce que l'élève les dépasse grâce aux ouvrages de référence et de façon illustrée sur la base de différents supports (photos, vidéos, musique, livres, bien entendu).
L'enseignement doit être ludique pour attirer l'intérêt de l'élève, éveiller sa curiosité, le sensibiliser à la richesse de la langue française afin qu'il réalise qu'enrichir ses compétences est aussi une façon de s'armer pour l'avenir, quel que soit son niveau et au même titre que les matières scientifiques. Pour être bon en mathématiques, il faut aussi être bon en français car la mathématique est un langage aussi, notamment l'algèbre, ce que je prends souvent pour exemple.
Mon objectif est de stimuler l'imaginaire, le goût du "beau" et du "jeu avec les mots" comme "on joue" avec les lettres dans une équation.