Je pense qu'il est fondamental de se concentrer sur la psychologie de l'apprentissage, un point clé faisant toujours la différence entre réussite ou échec. Le reste est connu de tous ceux qui enseignent les langues, exposition, vocabulaire, compréhension orale, aspects culturels etc. L'aspect social est également très déterminant dans la réussite d'un projet d'acquisition d'une langue, concrètem...
Je pense qu'il est fondamental de se concentrer sur la psychologie de l'apprentissage, un point clé faisant toujours la différence entre réussite ou échec. Le reste est connu de tous ceux qui enseignent les langues, exposition, vocabulaire, compréhension orale, aspects culturels etc. L'aspect social est également très déterminant dans la réussite d'un projet d'acquisition d'une langue, concrètement savoir qui on est à l'intant t, avec une vue aussi objective que possible de son niveau d'éducation pour dire les choses rapidement, afin de déterminer la solution la plus adaptée. Ce dernier point est en réalité très souvent négligé et demeure un sujet délicat ou tabou, ce qui est à mon avis très dommageable dans bien des cas. Je reste convaincu qu'un nombre très important d'apprenants en échec, notamment les plus jeunes, verraient leurs perspectives changer positivement et très significativement avec une telle approche.
Pour un public ayant déjà un bon niveau d'acquisition d'une langue, passer à un niveau plus avancé peut s'avérer également difficile à concrétiser, notamment pour des raisons d'habitudes productives jusqu'à un certain point, qu'il faut rompre par exemple, et autres aspects plus liés aux activités régulières avec une langue cible.